🔞 Vente interdite aux moins de 18 ans
💥 BLACK NOVEMBER : des MAXI promos sur TOUS les produits 💥
Une question ? 06 70 73 89 02
Le mot épilepsie vient du grec, « epilambanein » et signifie « prendre par surprise ». En effet, bien que cette maladie neurologique se présente sous de multiples formes, leur point commun reste son côté imprévisible.
Environ 500.000 personnes sont épileptiques en France et bien que la médecine propose des solutions médicamenteuses, aucune ne permet sa guérison complète, mais bien à la limitation des crises et de leur intensité dans certains cas.
L’épilepsie [1] est liée à une activité électrique anormale des cellules nerveuses du cortex cérébral, entraînant une perturbation temporaire de la communication entre les neurones.
On parlera de crises généralisées lorsqu’elle touche le cerveau dans son ensemble (un tiers des malades) et de crises partielles lorsqu’elle touche une zone précise du cerveau (deux tiers des malades) :
1/ L’épilepsie généralisée est elle-même multiple puisqu’elle peut se présenter sous la forme de crises dites tonico-cloniques (crise la plus spectaculaire marquée de convulsions, chutes, cris…), d’absences (quelques pertes de consciences par semaine) ou de crises myocloniques (secousses musculaires brèves en pleine conscience).
2/ L’épilepsie partielle quant à elle ne touche pas l’intégralité du cortex. Les symptômes diffèrent selon la partie touchée, et se caractérisent souvent par des contractions, des spasmes ou encore des changements d’humeur.
L’épilepsie partielle est dite simple des lors ou il n’y a pas de rupture de conscience. L’épilepsie partielle est dite complexe dès qu’il y a modification de la conscience (exemple : la personne effectue des gestes automatiques)
Sur la base d’un classement international des syndromes, on distingue les épilepsies idiopathiques (10 à 15% des cas) d’origine génétique et donc sans causes apparentes, des épilepsies symptomatiques issues de lésions localisées dans le cerveau ou d’un phénomène diffus et résultant d’atteinte vasculaire cérébrale (AVC), de tumeur, d’une maladie infectieuse comme la méningite ou de lésion prénatale.
Le diagnostic se fait grâce à un EEG (électro-encéphalogramme) et, dans le cas des épilepsies symptomatiques, également à l’aide d’imagerie par résonance magnétique.
Le/la malade doit être suivi(e) par un médecin car un traitement non approprié peut aggraver l’épilepsie. Il y a des cas où l’épilepsie guérit et d’autres où elle persiste (épilepsie pharmaco-résistante).
Au vu de la violence des crises et de leur imprévisibilité, le/la malade développera souvent une anxiété et/ou une dépression, et dans ce cas devrait également être suivi(e) par un/ une psychologue.
En premier lieu et qui plus est parce qu’il s’agit d’une maladie grave, tout usage de CBD doit être soumis à l’avis d’un(e) médecin.
Plusieurs études scientifiques sur l’impact de l’usage de l’huile de CBD sur l’épilepsie ont été menées. [2]
Selon la forme d’épilepsie, la réduction des crises varie de 42% pour crises atoniques (crises pouvant occasionner une chute) et 51% pour les crises convulsives.
Ces 3 études ont été réalisées avec une huile de CBD dosée à 10%, c’est-à-dire 100mg/ml.
On constate par ailleurs dans le cas des patient(e)s réfractaires ou d’épilepsies pharmaco-résistantes (les épileptiques ayant des crises qui ne répondent pas de façon satisfaisante aux médicaments antiépileptiques, soit 30 % environ des patients), une réduction des crises de minimum 50% dans 40 à 50% de l’ensemble des cas étudiés.
Attention toutefois, les sujets souffrant d’autres formes d’épilepsie, comme par exemple l’épilepsie focale d’origine structurelle (à cause d’une lésion cérébrale) ou d’une épilepsie généralisée idiopathique (idiopathique : l’épilepsie n’est pas la conséquence d’autre chose, c’est la maladie en soi), n’ont pas encore été étudiés de manière ciblée. Il en résulte une incertitude quant à l’efficacité du CBD dans leur cas. [2]
Si la prise du CBD semble améliorer la situation des patient(e)s dans un nombre importants de cas, cependant comme mentionné en préambule il est impératif de demander l’avis préalable de son/sa médecin.
Enfin, outre son action sur le nombre et l’intensité des crises, le CBD de par son effet anxiolytique peut également jouer un rôle calmant important sur cet aspect-là de la maladie [3]. En effet, que cela soit avant, après ou entre les crises, la dépression, l’anxiété frappent souvent les personnes atteintes d’épilepsie.
L’huile de CBD se prend sous la forme de gouttes posées sous la langue directement à l’aide d’une pipette, ce qui permettra sa diffusion dans le sang plus rapide pour un effet plus immédiat. En principe le CBD n’entraîne pas d’effets secondaires, si ce n’est une certaine somnolence dans certains cas, ce qui permet de doser la quantité de gouttes avalées en fonction.