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Avant de comprendre l’impact du cannabidiol (CBD) sur les pathologies d’endométriose et de douleurs menstruelles, quelques définitions s’imposent :
L’endométriose est une maladie chronique, généralement récidivante, qui touche 6 à 10% de la population féminine. L’endomètre est la muqueuse des parois de l’utérus. Lorsque cette muqueuse se développe ailleurs en migrant anormalement vers les trompes, le col utérin, les ligaments, les ovaires, le péritoine ou même vers les organes non génitaux comme la vessie, le côlon (…), on parle de plusieurs cas d’endométriose.
Malgré le fait que l’endomètre se développe ailleurs que dans l’utérus qui est sa place normale, il suivra la logique hormonale du cycle des 28 jours et se désagrégera provoquant un écoulement sanguin.
Les causes de l’endométriose peuvent être multiples. Ainsi, un passé gynécologique opératoire, des règles précoces et douloureuses avec des cycles courts ou une exposition in utero au diéthylstilbestrol [1], sont autant d’explications plausibles.
Les symptômes sont des règles abondantes vers le troisième jour du cycle et des douleurs constantes. Plusieurs examens médicaux dont l’échographie, l’IRM ou autres techniques de radiologie, permettent de diagnostiquer cette maladie.
Bien que généralement elle disparaît à la ménopause [2], les traitements médicaux suffisent bien souvent à réguler la maladie mais l’endométriose garde un impact psychologique dû à la douleur. La médecine douce et une bonne hygiène de vie peuvent soulager les patientes. Dans ce cadre, on verra plus bas que l’usage d’huile de CBD peut aider à soulager la douleur et les effets néfastes de la maladie.
Les douleurs menstruelles touchent 50 à 80% des femmes fécondes. Parmi elles, 5 à 15% des femmes doivent changer leur quotidien pendant les 2 ou 3 jours de douleurs intenses. En général, cette période est particulièrement douloureuse à l’adolescence et juste avant la ménopause en raison des variations hormonales plus importantes [3].
On explique ces douleurs par des contractions utérines liées à la cessation de production d’œstrogènes et de progestérones après l’ovulation et en l’absence de fécondation. En effet, l’endomètre produit trop de prostaglandines responsables de ces contractions douloureuses de l’utérus [4] et atteignant parfois d’autres organes expliquant les nausées, diarrhées ou maux de tête [5].
Les cas de dysménorrhées primaires sont aussi souvent liés à une inflammation dont les causes ne sont pas encore bien connues, cela par manque de recherche médicale dans le domaine [6].
De même, les traitements traditionnels comme la prise de pilule contraceptive ou d’ibuprofène ne fonctionnent pas dans tous les cas.
Le Dr John Thiel, chef provincial du Département d’obstétrique-gynécologie de l’Université de la Saskatchewan à Regina (Canada), avance l’existence de récepteurs cannabinoïdes dans l’appareil génital féminin. Le CBD, interférant directement sur ces récepteurs, lesquels réduisent les douleurs pelviennes, jouerait un rôle positif sur le traitement de la douleur [7]. Une des études scientifiques menée sur 134 patientes souffrant de douleurs pelviennes chroniques et ayant pris du CBD, conclut à un effet positif dans 60% des cas.
Dans le cas précis de l’endométriose, lorsque l’endomètre présent en-dehors de l’utérus entraîne des saignements, ces derniers libèrent des médiateurs inflammatoires responsables des douleurs et de syndromes comme l’intestin irritable ou la fibromyalgie. Ainsi, le CBD avec ses potentielles propriétés anti-inflammatoires agirait là où les traitements traditionnels ne fonctionnent pas [8].
Par ailleurs, des études auraient démontré que le CBD agirait directement sur le système nerveux et inflammatoire, ce qui se traduirait par une diminution de la douleur. En ce sens, le laboratoire Foria a créé des ovules vaginaux à base de CBD pour calmer les douleurs, et l’association suisse S-Endo recommande la prise de CBD lorsque les traitements médicamenteux traditionnels ne fonctionnent pas.
Néanmoins, pour l’association médicale canadienne (AMC), et cela par mesure de précaution, elle ne conseille pas l’usage de CBD pour les femmes enceintes.
Une des manières les plus efficaces de prendre du CBD est la prise sous forme d’huile.
Il suffit de prendre quelques goûtes d’huile de CBD directement sous la langue, pour une diffusion rapide dans le sang [9]. Même s’il n’y a pas avec le CBD de danger de surdosage : Nous vous conseillons de commencer par dose de CBD la plus faible, car chaque personne réagit différemment à la substance ; et ensuite augmenter la dose progressivement jusqu’au soulagement.